Vomito, le retour.
Ce soir, j'étais pressée de raccrocher. J'avoue, en fait, ne pas bien avoir compris ce qu'il se passait.
Rien qu'un exemple. Mon amour inconditionnel pour starbucks ne devrait être un secret pour personne. Et pourtant, tout à l'heure, J et moi, on passe en chercher, et puis on vient s'affaler chez moi (oh eyh ça va ... une réparation d'ordi, ça a jamais tué personne). Et puis voilà que je descends mon moka blanc tel un cowboy, avec deux ou trois bouchées pâteuses d'un muffin aux myrtilles.
On décide d'enchaîner par un câlin, tout à fait innocent.
Et c'est là que je suis ultra glamour. Parce que, oui, la tête renversée, des idées pas nettes, ça m'a donné soudain une folle envie de vomir. Au final, j'ai couru rendre le nectar à qui de droit, et tenté de rattraper de me brosser les dents d'une manière on ne peut plus féminine ... je réinvente la féminité ... et ouais !!
Sinon, pour de vrai, aujourd'hui, c'était mes premiers partiels. J me voyait complètement déprimée, et pour cause, il en était l'origine, et il le savait parfaitement. De toutes les manières, mon état est tel, que même les personnes de la classe se rendent compte que quelque chose cloche, ce à quoi je réponds nonchalamment que je suis un peu fatiguée et malade, et que s'ils veulent une preuve, je peux aisément leur postillonner mes acariens dessus (je suis très très généreuse).
Voyez, j'ai toujours été ce type de nana qui bosse complètement sur ses cours et à qui on doit arracher la copie alors que je montre les crocs pour noter encore quelques mots qui sembleraient les plus cruciaux de mon chef d'oeuvre.
Mais voilà ... aujourd'hui, j'ai lu le sujet. J'ai levé le nez en l'air environ 5 minutes pour calculer mes chances d'approximer les 8 à cet exam. Et puis, pendant 20 minutes, j'ai gratté des choses qui me venaient en tête.
Au bout des une demi heure réglementaire, j'ai rezippé ma trousse, rassemblé mes copies, pris ma veste, remis la copie à la surveillante, et en remontant le couloir, j'ai croisé le regard de J qui semblait vouloir me dire que j'étais une brave idiote de foutre en l'air mes partiels. Certes, j'ai été la première a partir. Et cette putain de prof, a attendu ce moment là pour donner des indications pour la résolution d'un des exercices.
Alors oui, je m'en fous de ces partiels. Ce sont mes derniers. Mais c'est pas pour ça que je les bâcle.
C'est très certainement parce qu'après ça, y'a plus cours. Et sans ça, j'ai plus aucun motif à invoquer pour le revoir.
Alors ça me déprime. Et j'ai envie de faire perler les larmes si fort que même un paquet de mouchoir ne suffirait pas à tout éponger.
... une journée vomie et foirage de partiels ... je réponds très sarcastiquement et puérilement : LOLEUH !
Rien qu'un exemple. Mon amour inconditionnel pour starbucks ne devrait être un secret pour personne. Et pourtant, tout à l'heure, J et moi, on passe en chercher, et puis on vient s'affaler chez moi (oh eyh ça va ... une réparation d'ordi, ça a jamais tué personne). Et puis voilà que je descends mon moka blanc tel un cowboy, avec deux ou trois bouchées pâteuses d'un muffin aux myrtilles.
On décide d'enchaîner par un câlin, tout à fait innocent.
Et c'est là que je suis ultra glamour. Parce que, oui, la tête renversée, des idées pas nettes, ça m'a donné soudain une folle envie de vomir. Au final, j'ai couru rendre le nectar à qui de droit, et tenté de rattraper de me brosser les dents d'une manière on ne peut plus féminine ... je réinvente la féminité ... et ouais !!
Sinon, pour de vrai, aujourd'hui, c'était mes premiers partiels. J me voyait complètement déprimée, et pour cause, il en était l'origine, et il le savait parfaitement. De toutes les manières, mon état est tel, que même les personnes de la classe se rendent compte que quelque chose cloche, ce à quoi je réponds nonchalamment que je suis un peu fatiguée et malade, et que s'ils veulent une preuve, je peux aisément leur postillonner mes acariens dessus (je suis très très généreuse).
Voyez, j'ai toujours été ce type de nana qui bosse complètement sur ses cours et à qui on doit arracher la copie alors que je montre les crocs pour noter encore quelques mots qui sembleraient les plus cruciaux de mon chef d'oeuvre.
Mais voilà ... aujourd'hui, j'ai lu le sujet. J'ai levé le nez en l'air environ 5 minutes pour calculer mes chances d'approximer les 8 à cet exam. Et puis, pendant 20 minutes, j'ai gratté des choses qui me venaient en tête.
Au bout des une demi heure réglementaire, j'ai rezippé ma trousse, rassemblé mes copies, pris ma veste, remis la copie à la surveillante, et en remontant le couloir, j'ai croisé le regard de J qui semblait vouloir me dire que j'étais une brave idiote de foutre en l'air mes partiels. Certes, j'ai été la première a partir. Et cette putain de prof, a attendu ce moment là pour donner des indications pour la résolution d'un des exercices.
Alors oui, je m'en fous de ces partiels. Ce sont mes derniers. Mais c'est pas pour ça que je les bâcle.
C'est très certainement parce qu'après ça, y'a plus cours. Et sans ça, j'ai plus aucun motif à invoquer pour le revoir.
Alors ça me déprime. Et j'ai envie de faire perler les larmes si fort que même un paquet de mouchoir ne suffirait pas à tout éponger.
... une journée vomie et foirage de partiels ... je réponds très sarcastiquement et puérilement : LOLEUH !
Ecrit par disturb, le Mardi 19 Janvier 2010, 00:45 dans la rubrique Actualités.