ding ding ding ! je suis une cloche !
J'ai tenté de m'occuper l'esprit toute la journée pour ne pas l'appeler ... genre je suis grande et forte et indépendante et je vis trop bien la rupture. Et puis, mon égo en prend un coup quand je me rends compte qu'il peut se passer de m'appeler, mais pas de *bip*.
Lundi, ça fera deux semaines.
Alors il y'a 20 minutes j'ai craqué. J'ai tenté de l'appeler. Trois fois.
Quelle idiote.
Sans réponse.
Peut être qu'il mange.
Peut être qu'il veut être seul. Mais dans cette hypothèse, je crois que je ne suis pas assez forte pour le laisser seul.
On m'a dit un jour que si quelqu'un part, et que tu le laisses partir, mais que finalement il revient, il sera là pour toujours.
Faut-il que je l'applique ? (ou tout du moins, essai)
Je sais pas.
La seule chose que je sais, c'est que ça pique, là, tout au fond du cœur, et que les larmes, elles coulent, là, sur mes joues.
Je refuse de m'avouer que c'est fini ... et pourtant, même si mon monde semble s'écrouler, les gens autour voient ça comme si c'était anodin ... un peu comme si ce n'était qu'une rupture de plus au palmarès d'une fille.
Pfff.
J'en ai du dégoût à revendre.
Et pas qu'envers moi.
Ecrit par disturb, le Vendredi 15 Janvier 2010, 21:48 dans la rubrique Actualités.
Commentaires :
Re:
Mais justement, j'en veux pas de la "compassion" ... à côté de la "passion", ça fait un peu tâche et dérisoire comme type de sentiment
>un peu comme si ce n'était qu'une rupture de plus au palmarès d'une fille.
Les gens voient surtout ça d'un oeil extérieur, d'un coeur qui n'a pas ressenti, d'une compassion qui ne fait que les effleurer...